le 27.12.12 | 10h00
-Trois personnes écrouées pour détention illégale d’armes à feu à Sougueur
Trois personnes, âgées de 27 à 39 ans, qui habitent à Sougueur, 26 km au sud de Tiaret, ont été mises sous mandat de dépôt avant-hier soir par le procureur de la République près le tribunal de la même ville pour «commerce et détention illégale de fusils», avons-nous appris de sources sécuritaires. Des armes qui seraient ramenées près de la frontière est du pays et que détenait l’un des mis en cause. Notre source précise que les armes ont été récupérées au domicile d’un des prévenus.
http://www.elwatan.com/dyn/imprimer.php?link=http%3A%2F%2Fwww.elwatan.com%2Factualite%2Fon-vous-le-dit-27-12-2012-197399_109.php
Trois individus, âgés entre 29 et 33 ans, ont été placés sous mandat de dépôt par le magistrat instructeur près le Tribunal de Sougueur (Tiaret) pour trafic d’armes à feu, a‑t‑on appris ce mercredi 26 décembre de source sécuritaire.Selon le bureau de sécurité de l’Armée du secteur militaire opérationnel de la wilaya de Tiaret, une quantité importante d’armes à feu et de munitions a été découverte lundi dernier à Sougueur, au domicile de l’un des trois acolytes. Se basant sur l’aveu fait par ce dernier, la même source a indiqué que cet arsenal est entré sur le territoire national par les frontières orientales après avoir été acheté dans une ville frontalière du sud‑ouest du pays. Les trois individus, tous originaires de la ville de Sougueur, ont été incarcérés à la maison d’arrêt de Tiaret.
Action - Trois tapis traditionnels tissés à Tissemsilt ont été estampillés à l’occasion de l’exposition régionale d’artisanat qui se poursuit au chef-lieu de wilaya, a indiqué un cadre du centre d’estampillage de tapis de Tipasa.
En marge d’une journée d’étude sur la laine organisée dans le cadre de cette manifestation, Mohamed Hadj Larbi a souligné que cette opération a été effectuée pour deux tapis fabriqués par deux femmes au village de Selmana (commune de Layoune) et un troisième à la commune de Bordj Emir Abdelkader. L’estampillage aide à commercialiser le tapis à l’étranger et à le distinguer des autres tissés dans d'autres autres régions du pays, a-t-il précisé.
Il a ajouté que sur 55 tapis exposés dans ce salon, le choix d'estampillage a été porté sur trois seulement tissés à partir de matières premières naturelles, dont de la laine pure, frappés de motifs au colorant solide «bien mesurés», et le nombre d'erreur relevées dans ce sens ne dépasse pas 5 %. Intervenant lors de la Journée d’étude sur la laine, M. Hadj Larbi a rappelé les missions du Centre régional d’estampillage de tapis de Tipasa qui se résument notamment dans la correction des erreurs concernant les mesures, les motifs et les colorants, entre autres. Le Centre vise aussi à instaurer la culture d’estampillage de tapis comme reconnaissance de la qualité et de l’authenticité du produit, pour encourager les artisans à confectionner un produit respectant les normes internationales, a-t-il souligné. Pour sa part, le directeur de la Chambre de l’artisanat et des métiers (CAM) de la wilaya de Tiaret, Smaïl Ammari, a rappelé le rôle du Centre national d’acquisition et de collecte de la laine, inauguré en 2011 à Sougueur, dans l'approvisionnement des artisans des différentes régions du pays en matière première à des prix promotionnels. Ce centre œuvre à acquérir une laine de qualité en collaboration avec les centres d’estampillage de tapis, les artisans, les experts et la Direction des services agricoles (DSA). La première exposition régionale d’artisanat, qui se poursuit à Tissemsilt, offre au public l'opportunité de découvrir des produits artisanaux comme les habits traditionnels, les bijoux en argent, les produits en bois sculpté, gâteaux et plats traditionnels, la sellerie et des œuvres d’art en poterie.
R. L. / APS
Grâce à sa dernière victoire sur le désormais ex-leader Sehaoula, le club du vieux quartier de Sougueur, la JSVBS, partage désormais les commandes du championnat de la Régionale 2, Ligue de Saïda, avec le représentant de l'Ouarsenis, le NRB Lardjem. Les Sougueris,qui n'ont jusque-là pas perdu le moindre match, ont décroché quatre victoires à domicile et ramené trois nuls hors de leur base, totalisant quinze points au compteur. L'attaque souguerie carbure à plein régime avec quinze buts marqués, alors que la défense n'a encaissé que quatre buts seulement. Le vice-président du club, Bourezg Badreddine, avoue que c'est un bon départ mais le plus dur reste à faire. «Tout d'abord, je dirai que je suis satisfait de cette bonne entame de championnat où, du moins, nous avons garanti notre maintien à 40%. Que tout le monde sache qu'on a rajeuni l'équipe à 80% et les jeunes manquent énormément d'expérience pour pouvoir jouer à fond la carte accession. Toujours est-il qu'on possède une équipe d'avenir. Enfin, je remercie du fond du cœur les autorités locales et de wilaya pour leur aide morale et financière», conclura le vice-président.
B. KACEM
Le citoyen étranger en visite à la ville de Sougueur ne saurait prendre toute son attention devant l’état de déliquescence dans lequel la cité a été livrée à la nouvelle Assemblée populaire communale. Des supposés travaux d’aménagement toujours en chantiers ouverts, des tampons non posés, des fosses béantes sans protection, des rues défigurées, des quartiers transformés en favelas où les chiens errants en meutes ont déjà occupé le terrain pour s’imposer en maîtres incontestés, des déchets ménagés abandonnés sur les trottoirs, des décharges sauvages créées depuis que le dernier électeur a mis son bulletin dans l’urne en signe de refus à la démission collective. Depuis, tout a été remué de fond en comble des quartiers entiers végètent dans la désolation et le laisser-aller, «un engagement pour le moins punitif », clamait la société civile comme pour dénoncer ceux qui ont mal géré la collectivité. Plusieurs associations civiles, engagées dans des actions citoyennes, se sont mobilisées pour dresser un bilan négatif sur le fonctionnement de la cité dans toute sa dimension culturelle, sportive et sociale. Dans la ville, le citoyen étranger à cette ville ne saurait comprendre pourquoi une telle ville historique, celle de toutes les grandes figures révolutionnaires, culturelles, sportives et politiques, croule sous le poids de la bêtise humaine. Devant cet état déplorable, le commun des citoyens de Sougueur aurait vite fait de comprendre que tout l’espace vient de faire l’objet de dégradation à grande échelle, sinon livrer au pourrissement. La nouvelle assemblée élue aux suffrages, sera confrontée à un problème d’ordre organisationnel de toute la cité comme elle focalisera toute son attention sur le cadre de vie pour ensuite voir plus clair et agir dans la ligne de la refonte de toute la communauté. Devant cet état de fait, la nouvelle assemblée serait-elle héritière d’un cadeau empoisonné où tout l’environnement et son cortège seraient en passe de lui créer un autre contexte politique qui serait à même de mettre en chantiers tous les élus pour au moins sauver ce qui peut l’être.
M. Smail Ammari a rappelé le rôle du Centre national d’acquisition et de collecte de la laine, inauguré en 2011 à Sougueur, dans l’approvisionnement des artisans des différentes régions du pays en matière première à des prix promotionnels.
Trois tapis traditionnels tissés à Tissemsilt ont été estampillés à l’occasion de l’exposition régionale d’artisanat qui se poursuit au chef-lieu de wilaya, a indiqué un cadre du centre d’estampillage de tapis de Tipasa. En marge d’une journée d’étude sur la laine organisée dans le cadre de cette manifestation, M. Mohamed Hadj Larbi a souligné que cette opération a été effectuée pour deux tapis fabriqués par deux femmes au village de Selmana (commune de Layoune) et un troisième à la commune de Bordj Emir Abdelkader.L’estampillage aide à commercialiser le tapis à l’étranger et à le distinguer des autres tissés dans d’autres régions du pays, a-t-il précisé. Il a ajouté que sur 55 tapis exposés dans ce salon, le choix d’estampillage a été porté sur trois seulement tissés à partir de matières premières naturelles, dont la laine pure, frappés de motifs au colorant solide «bien mesurés », et le nombre d’erreur relevées dans ce sens ne dépasse pas 5%. Intervenant lors de la Journée d’étude sur la laine, M. Hadj Larbi a rappelé les missions du Centre régional d’estampillage de tapis de Tipasa qui se résument notamment dans la correction des erreurs concernant les mesures, les motifs et les colorants, entre autres. Le Centre vise aussi à instaurer la culture d’estampillage de tapis comme reconnaissance de la qualité et de l’authenticité du produit, pour encourager les artisans à confectionner un produit respectant les normes internationales, a-t-il souligné. Pour sa part, le directeur de la chambre de l’Artisanat et des métiers (CAM) de la wilaya de Tiaret, M. Smail Ammari a rappelé le rôle du Centre national d’acquisition et de collecte de la laine, inauguré en 2011 à Sougueur, dans l’approvisionnement des artisans des différentes régions du pays en matière première à des prix promotionnels. Ce centre oeuvre à acquérir la laine de bonne qualité en collaboration avec les centres d’estampillage de tapis, les artisans, les experts et la direction des services agricoles (DSA). La première exposition régionale d’artisanat, qui se poursuit à Tissemsilt, offre au public l’opportunité de découvrir des produits artisanaux comme les habits traditionnels, les bijoux en argent, les produits en bois sculpté, gâteaux et plats traditionnels, la sellerie et des oeuvres d’art en poterie